
De la tonte des moutons jusqu'au tissage et tricotage des fils, en passant par les opérations de tri et lavage des toisons et de filature, le projet Tricolor encourage la renaissance des filières lainières françaises. Première Vision, en partenariat avec Made in Town, met une gamme de textiles éco-responsables à la disposition de marques et designers qui souhaitent explorer les multiples possibilités de cette matière produite localement en France et issue de circuits courts.
La collection de vêtements et de textiles développée par la designer française Cathy Amouroux en collaboration avec les ateliers indiens d’Ereena, spécialistes de la soie “eri”, est à découvrir en exclusivité chez Made in Town.
La première étape de l'exposition itinérante The Lace Review, qui rassemble les 14 dernières manufactures de dentelle Leavers encore en activité à Calais et à Caudry, a lieu du 22 mars au 1er mai 2018 au Museum of Contemporary Art (MoCA) de Shanghai.
Pop-up stores, showrooms, lieux d’expositions... Plus d’une douzaine d’espaces réunis au sein d’un même quartier, au cœur de Paris, s’ouvrent à la création et aux savoir-faire à l’occasion de l’édition 2018 des Journées Européennes des Métiers d’Art.
À l’initiative de la Ville de Calais, la Direction Générale des Entreprises et la Région Hauts-de-France s’associent pour mettre en lumière à l’international l’un des plus beaux fleurons de l’industrie de la mode et du luxe français – la dentelle Leavers – au travers d'une exposition itinérante conçue par Made in Town.
Cécile Feilchenfeldt, tricoteuse et designer textile, invite la photographe Aurélie Cenno et le directeur artistique Vincent Giavelli pour présenter Ensemble, plus de trois années de collaborations visuelles. Éditions, tirages photographiques, posters... la maille sous tous ses fils !
Le Musée Galliera consacre pour la première fois en France une exposition à Mariano Fortuny (Grenade, 1871 - Venise, 1949) qui, à l’image de Léonard de Vinci, fut un artiste complet : inventeur, peintre, photographe, créateur, collectionneur et amateur d’art, parfois même qualifié d’alchimiste de la mode.
Vous êtes designer, artisan, fabricant et vous souhaitez valoriser votre travail et votre marque en exposant dans un showroom, une galerie ou une boutique éphémère au centre de Paris ? Vos projets nous intéressent.
En réponse à une exigence croissante de responsabilité et de transparence des modes de production et de consommation, les Rendez-vous du Made in Occitanie s'adressent au grand public et aux professionnels, et rassemblent marques, entreprises et acteurs du territoire qui se distinguent par leur inventivité, leur savoir-faire et leur engagement dans des filières locales de fabrication.
Hornskov København est une petite entreprise familiale, fondée en 2015 par Peter et Cathrine Hornskov, qui fabrique des chapeaux à la main. Leur atelier est situé sur l’île de Christianshavn au cœur de Copenhague.
Elizabeth Gleeson est une américaine passionnée et engagée dans la production éthique de textiles artisanaux. En 2013, elle fonde son propre label, URSA Textiles.
C’est dans une bergerie à Layrolle, entre Causses et Cévennes, dans la région de Millau réputée pour sa filière cuir, que Jean-Pierre Romiguier a établi son atelier de maroquinerie et de sellerie, où sont fabriqués artisanalement sacs et autres accessoires en cuir sous le nom du Sac du Berger.
Tricotage de Marmoutier, du nom de la petite ville de la région Grand Est en France, est une marque de prêt-à-porter féminin créée par le fabricant SNTM, spécialiste de la maille depuis près d’un siècle.
Pour cette nouvelle édition d'Inventaire (Inventer + Faire) – le pop-up store de Made in Town dédié aux savoir-faire et aux productions locales – une sélection de vêtements et d'accessoires entièrement made in France met à l'honneur le travail de producteurs, d'artistes et de designers français qui contribuent à valoriser la fabrication textile sur l'ensemble du territoire.
À l’occasion de l’édition 2017 du salon Made in France qui rassemble annuellement les principaux acteurs de la filière textile-habillement française au Carreau du Temple, à Paris, Made in Town accompagne le projet Déshabillé, une œuvre de l’artiste française Valérie Mréjen réalisée en collaboration avec 24 entreprises françaises.
Gabrielle Legall, originaire du Finistère, lance en 2016 sa marque Processus : des collections de prêt-à-porter minimales qui se composent de petites séries de pièces en toile de parachute et de parapente recyclée, à l’esprit streetwear et au style élégant.
Made in Town collabore avec la marque de vêtements AALTO pour la réalisation d’une collection capsule artisanale originale inspirée des célèbres “Moomins” finlandais.
Dans le cadre de l'exposition, La nature de la couleur, présentée lors de la biennale Émergences, la designer coréenne Eung-Bok Chang dévoile une série d’échantillons reposant sur un double souhait – celui d’offrir un futur aux techniques de teintures naturelles coréennes dont les origines remontent au IVe siècle mais également celui de promouvoir l’activité de l’atelier Sangju Silk, l’un des derniers soyeux semi-artisanaux coréens à tisser ses étoffes sur des métiers lents et de laizes réduites.
Déjà coutumière des techniques de coloration naturelle, notamment grâce à de nombreux workshops effectués auprès d’artisans taïwanais, la plasticienne et créatrice textile française Aurore Thibout profite de son séjour à la Villa Kujoyama en 2015 pour collaborer avec les artisans de Kyoto.
Afin de démontrer la richesse du savoir-faire de ses artisans et ses capacités créatives, Living Blue, atelier producteur d’indigo fondé par l’ONG Care au Bangladesh, souhaitait développer de nouveaux échantillons. De son côté, Anaïs Guery, créatrice de mode française, conjugue avec sophistication les techniques artisanales pour constituer ses collections de vêtements et d’accessoires qu’elle teinte de bleu dans son atelier.
Dans la région de Paraïba, au nord-est du Brésil, une poignée d’irréductibles cultivateurs défendent et développent la culture d’un coton biologique dont la fibre est naturellement colorée.
Le Mouvement des sans-terre apparaît en 1984 suite aux revendications de militants paysans pour l’accès à une terre inexploitée – détenue par l’Etat et les classes au pouvoir – qui leur est interdite. Un an plus tard a lieu le 1er congrès du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST), réunissant 1500 participants venus de 23 états du Brésil, soutenus par de nombreux juristes, syndicalistes et religieux.
Partout dans le monde, les procédés de teinture naturelle sont aujourd’hui au coeur des préoccupations et des pratiques du design textile. Fondés sur une multitude de recettes artisanales, ces procédés mettent en oeuvre des méthodes complexes qui nécessitent la maîtrise croisée de nombreuses sciences telles que la botanique, la géologie, la physique ou la chimie.
A l’occasion de la 4ème édition de la Biennale ÉMERGENCES - Métiers d’art x Design à Pantin, Made in Town présente l’exposition collective La Nature de la couleur sur le thème de la teinture naturelle.
Créée en mars 2011 à Paris par Mariette Chapel, Afrika Tiss est une association qui lutte contre la pauvreté des femmes artisans au Burkina Faso en leur permettant de s’exprimer par leur travail et leur savoir-faire.
A l’occasion de l’édition 2016 du salon Made in France qui rassemble annuellement les principaux acteurs de la filière textile-habillement française au Carreau du Temple, à Paris, Made in Town accompagne le projet La Garde-robe, Made in France, 2016, une œuvre de l’artiste française Marie-Ange Guilleminot, réalisée en collaboration avec une cinquantaine d’entreprises françaises, fournisseurs des plus grandes marques de mode.
En 1900, Mazamet compte une cinquantaine d’usines de traitement des peaux qui importent et exportent vers le monde entier. Pendant près de 150 ans, jusqu’aux premières secousses pétrolières, rien ne remettra en cause l’hégémonie mazamétaine en matière de délainage. Si aujourd’hui le ronflement industriel s’est apaisé, la Montagne noire cache encore en ses flancs une extraordinaire richesse de savoir-faire artisanaux et industriels.
Artisan maroquinier depuis trente ans, Xavier Catala reste fidèle à son premier amour – la ceinture – qu’il confectionne sous toutes les coutures dans son atelier situé à Sémalens.
Eric Carlier, ancien étudiant en droit dont la formation ne le prédestinait vraisemblablement pas au métier de tisserand, a fondé l’atelier le Passe-trame en 1990 à Payrin-Augmontel, à quelques kilomètres de Mazamet.
Depuis cinq générations, la société Henri Plo, entreprise familiale fondée à Aussillon – près de Mazamet – et dirigée par Xavier Plo, se spécialise dans l’ennoblissement textile. Au sein de la chaîne de fabrication, elle intervient lors des opérations de coloration (teinture) et de finition (apprêt).
Le département du Tarn est considéré comme le pays de la filature cardée – produisant des fils de laine épais. Spécialiste de cette technique, Emmanuel Amalric participe ainsi au maintien du savoir-faire d’un territoire qui fut autrefois un centre lainier de renommée internationale.
Si l’accent est le plus souvent mis sur les grands noms – entrepreneurs visionnaires, créateurs de génie, maisons de prestige – pour évoquer le rayonnement français de l’industrie de la mode et du luxe dans le monde entier, le succès d’une collection ou d’un défilé doit pourtant beaucoup à tous les producteurs en amont de la filière qui sont à l’œuvre dans l’envers du décor, à l’abri des regards.
Spécialiste du vêtement professionnel, la Manufacture Regain a créé en 2013 la marque de pulls et d’accessoires Pic de Nore, point culminant de la Montagne noire.
Les ateliers Missègle, devenus l’un des fleurons textiles de la région Midi-Pyrénées, entr’ouvrent leurs portes. Myriam Joly, leur fondatrice, partage avec franchise et passion l’histoire de la filière de laine mohair Made in France qu’elle a contribué à établir avec patience et détermination.
Made in Town accueille la présentation du projet Parures mené par Isabelle Quéhé, présidente de l’association Universal Love et fondatrice du premier salon de la mode éthique en France, Ethical Fashion Show. Isabelle Quéhé a travaillé en collaboration avec une trentaine de designers qui ont, chacun à leur manière, réinterprété la parure.
Micol Fontana, l'une des trois soeurs à l'origine de la création de la maison de couture Sorelle Fontana à Rome en 1943, s'est éteinte dans sa 102ème année, le 12 juin 2015. En préface de l'édition romaine du Guide sur mesure au féminin paru en 2011, Micol Fontana partageait avec générosité son point de vue sur les évolutions du système de la mode au travers du récit de ses propres engagements.
Pour son premier voyage à l’étranger, le collectif indien Obataimu a choisi de poser ses valises à Paris. En exclusivité chez Made in Town, Obataimu présente ses collections et raconte son histoire en images. Une histoire, écrite sur le ton du manifeste, qui défend l’art de la lenteur dans une société lancée à pleine vitesse.
Dans la lignée des vidéos-documentaires réalisées localement au sein des ateliers et manufactures de tissage, Made in Town accompagne le sixième appel à création de la Cité internationale de la tapisserie et de l’art tissé d’Aubusson.
François Coffy, 25 ans, a délaissé les bancs de la faculté de droit, remisé le Code civil en fond de bibliothèque, afin de se consacrer à sa passion pour l’habillement et l’artisanat. Il vient de fonder l’atelier Blaise de Sébaste, en binôme avec Benoit Aguelon, rencontré à l’Association Formation Tailleur. L’atelier Blaise de Sébaste réalise des pantalons en grande mesure, ainsi que des costumes, manteaux et chemises en petite mesure, le tout de confection artisanale. Made in Town a souhaité en savoir plus sur son parcours atypique.
Benoit Aguelon, 37 ans, conseiller auprès de grandes entreprises et de fonds d’investissement, décide de couper sa trajectoire professionnelle, pour se consacrer à la coupe. Il vient de fonder l’atelier de tailleur Blaise de Sébaste avec François Coffy, rencontré à l’Association Formation Tailleur. L’atelier Blaise de Sébaste réalise des pantalons en grande mesure, ainsi que des costumes, manteaux et chemises en petite mesure, le tout de confection artisanale. Made in Town a souhaité en savoir plus sur son parcours atypique.
Pour quelques semaines, Made in Town se transforme en atelier de confection artisanale de pantalons. Placé au centre, en pleine lumière, le plan de travail devient la scène d’un ballet élégant et maîtrisé où les mains font danser les outils et les étoffes au rythme de votre mesure.
En parallèle du salon Première Vision et de son espace Maison d’Exceptions dédié aux producteurs textiles, lieu de rencontres présentant des productions exceptionnelles, traditionnelles ou innovantes, le magazine maisondexceptions.com est une plateforme en ligne unique qui prolonge l’expérience du salon et offre un véritable antidote à l’uniformisation.
Née en 1969 à Paris, Valérie Mréjen est une vidéaste, écrivaine et plasticienne française. Sa réflexion et son travail artistiques s’inspirent d’événements du quotidien, ces menus faits de l’existence, parfois cruels ou burlesques.
Fondée en 1887, la maison Sophie Hallette est une référence internationale dans l’art de la dentelle et du tulle, à destination de la haute couture, du prêt-à-porter, de la lingerie et de la décoration de luxe. Ses dentelles ont rehaussé les toilettes des élégantes du 19ème siècle, orné les créations des plus grands couturiers et les robes de stars mondiales, à l’image de Marilyn Monroe ou d’Elizabeth Taylor, et plus récemment la robe de mariée de Catherine Middleton, duchesse de Cambridge.
À partir du 20 mai et en parallèle des D’Days, Made in Town se met aux couleurs du Danemark et propose une programmation 100 % design. L’atelier accueille dans ses murs le projet Nordkraft qui fait la part belle aux essentiels du style de vie à la danoise et propose via Internet du mobilier, des objets, de l’art graphique, avec des marques typiques de l’esprit nordique.
En parallèle du Salon Made in France Première Vision, rendez-vous d’exception de la haute façon française qui se tient au Carreau du Temple, découvrez le magazine en ligne du salon sur salonmadeinfrance.com.
Dans le cadre du Salon Made in France Première Vision, qui cette année se tiendra pour la première fois au Carreau du Temple à Paris, Made in Town propose une rencontre autour de l’exposition Tresses 13 14.
Made in Town accueille la première collection de MOY pour la présentation dʼune série de tee-shirts qui s’appuie sur le savoir-faire des ateliers Chanteclair à Troyes qui les ont confectionnés. Imaginés par Yasco Otomo, styliste et designer japonaise installée à Paris depuis plus d’une dizaine d’années, ils revisitent la tradition française de la bonneterie.
Se rapprochant sous bien des aspects d’un club pour gentlemen contemporain, cette boutique voue un véritable culte au vêtement. Chaque pièce y est soigneusement conçue selon deux critères majeurs : l’élégance et le confort.
Antica Manifattura Cappelli est un des rares ateliers-laboratoire de chapellerie encore en activité, un véritable monument de l’artisanat italien, qui continue de conserver une infinité de moules datant du début du 20ème siècle. Fondé par la famille Cirri en 1936 dans le quartier de Prati, à Rome, il produit à l’heure actuelle des chapeaux sur mesure pour homme, pour femme et pour enfant ainsi que des pièces exceptionnelles pour le cinéma ou le théâtre.
Implantée en pays choletais, région à forte tradition textile, l’entreprise Confection des Deux-Sèvres (C2S) est le leader européen de la fabrication de chemises sur mesure pour homme et femme.
Située dans les collines du Sundgau, au sud de l’Alsace, Emanuel Lang, labellisée Alsace Terre Textile, est l’une des dernières entreprises à produire des tissés-teints en France pour la confection de chemises.
Depuis 1972, les couturières de l’atelier Genète confectionnent à la main cravates, nœuds papillon, foulards et autres accessoires en soie pour les plus grandes maisons françaises.
Fondé en 1949 à Borgo San Lorenzo, en Italie, l’atelier Il Borgo poursuit sa recherche de nouveaux points, qu’il s’agisse de tricot-main, tricot-machine, de crochet ou de macramé, avec pour ligne de conduite l’originalité.
A l’occasion de Voyage, Marie-Ange Guilleminot et Made in Town organisent une série de rencontres autour de personnalités détentrices de gestes et de techniques : costumiers, tailleurs, brodeurs, corsetiers, graphistes.
A l’occasion de Voyage, Marie-Ange Guilleminot et Made in Town organisent une série de rencontres autour de personnalités détentrices de gestes et de techniques : costumiers, tailleurs, brodeurs, corsetiers, graphistes.
A l’occasion de Voyage, Marie-Ange Guilleminot et Made in Town organisent une série de rencontres autour de personnalités détentrices de gestes et de techniques : costumiers, tailleurs, brodeurs, corsetiers, graphistes.
A l’occasion de Voyage, Marie-Ange Guilleminot et Made in Town organisent une série de rencontres autour de personnalités détentrices de gestes et de techniques : costumiers, tailleurs, brodeurs, corsetiers, graphistes.
A l’occasion de Voyage, Marie-Ange Guilleminot et Made in Town organisent une série de rencontres autour de personnalités détentrices de gestes et de techniques : costumiers, tailleurs, brodeurs, corsetiers, graphistes.
Si le sur-mesure porte intrinsèquement en lui une certaine dimension éthique, il semble s’épanouir pleinement dans le travail d’Eric Lomain : modeste, il nous confie ne pas avoir le sentiment de « sauver » les personnes qu’il chausse, mais admet tout de même la reconnaissance de nombre d’entre elles, qui lui disent que « sans [lui], elles ne pourraient pas marcher ». Ou l’art de donner du sens à un objet devenu malgré lui emblème de superficialité.
Confection de Sully est une société française, installée dans le Loiret et spécialisée dans l’étude, le prototypage et la production de vêtements haut de gamme, alliant un savoir-faire industriel de qualité à la maîtrise de techniques artisanales traditionnelles.
À l’occasion de la semaine de la mode à Paris, Made in Town accueille Anahide Saint André autour de la présentation d’une série limitée de robes qui mettent en avant la combinaison des gestes et des savoir-faire des ateliers Confection de Sully et Plissés de France.
Plissés de France se définit comme artisan-plisseur. Concepteur de ses propres métiers à plisser, à cheval entre création artisanale et production industrielle, l’atelier situé en Ille-et-Vilaine opère depuis la mise au point du modèle de plissé jusqu’à sa fabrication en vue de la confection en interface avec les façonniers.
Le collectif e.g.m. tire son nom des initiales de ses fondateurs : Elsa, Grichka et Martin, trois graphistes diplômés des Arts décoratifs de Paris. Dans le cadre du cycle Auto-productions, ils s’appuient sur l’expérimentation de leur machine à dessiner pour présenter leur démarche. Associés à Label XVI, qui élabore des objets uniques à partir d’une production en série, e.g.m. réalisera à l’aide de marqueurs indélébiles – et in situ – une série de dessins sur des foulards en soie et en coton.
La tradition de la haute couture parisienne s’appuie sur le savoir-faire et le travail irréprochable des petites mains. Leur dextérité s’acquiert au fil du temps, par la répétition infinie des mêmes gestes. Avec l’expérience, chaque nouveau point cousu à la main devient rigoureusement identique au précédent, gage de qualité et d’excellence. L’excellence de la main se mesure en quelque sorte à sa capacité à se rapprocher de la perfection d’exécution du robot.
A l’occasion du lancement d’Élégance de la Révolte – qui propose une ligne intemporelle de manteaux et de gilets réalisés à la demande – Made in Town se transforme pour quelques semaines en atelier de coupe. Théâtre de la fabrication, l’atelier déploie les gestes du tailleur, aiguise les outils et met en lumière les savoir-faire qui les manient pour transformer avec virtuosité la matière.
En collaboration avec les étudiants en management de l’Institut français de la mode, le Wanderlust a organisé une soirée Sur-Mesure intitulée « Le Fil de la mode » sur le thème de la mode et de l’artisanat, au cours de laquelle Pascal Gautrand a animé une table ronde en compagnie de la créatrice de mode Christine Phung, du designer textile Tzuri Gueta et de Maud Lescroart, directrice marketing de la maison de dentelles Sophie Hallette. Ensemble, ils abordent l’artisanat sous l’angle de l’innovation et s’interrogent sur son rôle dans la société de demain.
Vous souhaitez faire réaliser la robe de vos rêves ? Garnir une garde-robe unique loin des standards de la rue ? Etre à la pointe de la mode sans renoncer à vos goûts personnels ? Alors, ce guide qui rassemble 220 adresses de la capitale italienne où s’habiller sur mesure de la tête aux pieds est fait pour vous. 220 lieux en ville où une femme peut commander vêtements et accessoire sur mesure.
Un authentique atelier de fabrication à la main et sur mesure de chaussures pour homme et femme.
Les robes du jeune couturier romain Antonio Grimaldi éveillent le sentiment d’une exquise exclusivité. Entre ses mains expertes, tissus fins et broderies deviennent des robes du soir et de jour. Elève de la grande Fernanda Gattinoni, Antonio Grimaldi est à l’écoute de ses clientes et les oriente vers le modèle qui reflétera au mieux leur personnalité.
À l’occasion de la Fashion Week parisienne, Made in Town présente le travail de Sylvio Giardina, designer de mode romain.
Dans le cadre de l’ouverture de son atelier, Made in Town propose, pour la première fois à Paris, l’exposition When in Rome, Do as Romans Do. Ce projet, initialement développé en 2009 par le designer de mode Pascal Gautrand, à l’occasion d’une résidence à la Villa Médicis, prend pour prétexte la chemise d’homme pour montrer la richesse de l’artisanat et la multiplicité de la fabrication locale incarnées par les tailleurs de vêtements sur mesure.
Made in Town accueille De Bonne Facture pour la présentation dʼune série de modèles qui mettent en lumière les savoir-faire dʼartisans et de façonniers français qui les ont réalisés.
Véritable passionné de son métier, le designer et artisan Carlo Cecchini taille le cuir manuellement pour créer sacs et chaussures.
A la fois artisanales et novatrices, les techniques de tricot développées par Albertina Giubbolini lui ont permis de se forger en Italie une réputation similaire à celle de Gabrielle Chanel dans le domaine de la maille.
Toute l’authenticité et l’excellence de l’Italie concentrées dans un même lieu : un élégant showroom avec vue imprenable sur la place d’Espagne dévoile des prototypes de robes.
Romain de naissance, le designer Alessio Spinelli, spécialiste de la chaussure, a fait ses galons à l’Académie Koefia, dans la capitale italienne, où son travail jouit aujourd’hui d’une renommée grandissante.
Pour confectionner ses robes de mariage, Chiara Valentini, ex-designer de costumes, puise clairement son inspiration dans les symboles forts qui ont marqué les années 50 : lignes corolle, jupes évasées, ceintures marquées, un style arboré à l’époque par Audrey Hepburn, icône marquante du grand écran.
Née en 1967 dans un petit bourg de la province de Trente, Antonella Fustini est une couturière italienne qui vit et travaille à Paris. Elle commence son parcours de couturière dans la grande distribution – de l'habillement sportif à la décoration intérieure – avant de s'intéresser à l'aspect artisanal du métier.
Pour sa troisième édition, Made in Town a choisi Paris pour mettre en place, pour une durée d’un mois, un atelier ephémère destiné à mettre en avant une collection de chemises sur mesure pour homme et pour femme. Ces dernières sont confectionnées par Antonella Fustini, une couturière italienne pleine d’entrain qui s’est installée à Paris.
Fondée en 1947, la maison Febvay est l’un des derniers créateurs et fabricants de vêtements professionnels français.
Au milieu des années 90, tandis que les délocalisations se multiplient, Jacques Marie, ancien directeur de Dim, fait le pari de lancer une fabrication de chaussettes de qualité, en reprenant l’une des usines de la marque vouée à la fermeture. A Vagney, dans les Vosges, il fonde alors la société Tricotage des Vosges qui donnera naissance à la marque Bleu Forêt.
Alessandra Torella et Santo Costanzo, le duo de créateurs à la tête de la marque, ont décidé d’allier leurs expériences développées au travers de projets cinématographiques, théâtraux et stylistiques pour donner vie, en 2009, à des créations inspirées par l’idée de vêtements uniques, réalisés à partir de techniques de teinture expérimentales et de matières et motifs originaux.
Pour sa collection de mailles, Canovai utilise de la laine mérino extra-fine, du cachemire, de la rayonne et du lin produits exclusivement en Italie.
La glorieuse époque de la Dolce Vita n’est peut-être pas tout à fait révolue : dans cet atelier bottier, les artisans s’attachent encore à prendre les mesures du pied avec le plus grand soin, à choisir les peaux, les applications et les modèles.
Il faut compter jusqu’à 70 heures de travail pour obtenir un costume sur mesure confectionné par Gaetano Aloisio, calabrais de naissance et romain d’adoption. Un style formel, en aucun cas excentrique ou ostentatoire, qui peut se targuer d’arborer des coupes qui, bien qu’elles soient élégantes et sobres, restent néanmoins toujours extrêmement confortables.
Depuis 1946, les créations confectionnées à la main chez Beauty di Bucci, un des plus anciens ateliers d’artisan-chemisier de Rome, faites de coutures double aiguille, de cols détachables, de boutons en nacre et de tissus italiens, constituent la marque de fabrique de ses chemises.
Reconnaissables entre mille, les souliers sur mesure d’Aglietti incarnent l’obsession que voue le designer à la couleur et au lustre : une sensation inégalable de pureté, au regard comme au toucher, où le polissage se transforme en véritable rituel, avec pas moins d’une dizaine d’opérations de finition.
Dans son atelier à Tor di Nona, Alberto Valentini, individu excentrique et éclectique, fabrique essentiellement des cravates et des nœuds papillon originaux sur la base de ses propres designs. Son look sulfureux – moustache et cheveux en bataille – et sa créativité empreinte d’une touche d’onirisme lui ont valu d’être surnommé le « Salvador Dali de la cravate ».
Après avoir appris les ficelles du métier dans les années 50 chez le bottier Petrocchi sur la via Sistina à Rome, Ennion Laudadio a ouvert sa première boutique en 1961 sur la via Gregoriana et y a transmis tout son savoir-faire d’artisan à son fils.
Ce temple dédié au bien-être masculin offre une expérience hors du commun aux hommes en quête de services et de soins personnalisés. Barbier napolitain, coin détente et massage, sans oublier l’atelier de tailleur, où il est possible, sur rendez-vous, de choisir parmi les plus beaux tissus ou cotons précieux de Loro Piana pour se faire confectionner des costumes et des chemises sur mesure.
Plus qu’une simple boutique, Battistoni s'est rapidement mué en café littéraire, devenant le haut lieu de rencontre des aristocrates, financiers et célébrités, italiennes comme internationales – du duc de Windsor à Marlon Brando, en passant par Moravia, Warhol, Balthus ou encore Jean Cocteau. Ces personnalités possédaient toutes un point commun : elles rêvaient d’arborer une chemise ou un costume Battistoni.
Alberto Merola, issu de la troisième génération d’une famille de gantiers de luxe dont l’histoire a débuté en 1870 à Naples, confectionne des gants de haute qualité qui épousent toutes les morphologies de mains.
La boutique de chemise de Paolo Regini, inaugurée en 1972 à Monteverde Nuovo, loin du centre de Rome et réputé pour être difficile d’accès, propose toute une gamme de tissus, parmi lesquels on retrouve les étoffes de prédilection de monsieur.
Lors de la semaine de la mode romaine, Sylvio Giardina et Stato di Famiglia ont présenté, le 1er février 2011, une installation-performance commissionnée par Emanuela Nobile Mino au Palazzo delle Scienze.
D’incroyables bijoux pour homme et pour femme sont disponibles à la boutique d’Alessandro Nicotra, située à proximité de Campo de’ Fiori. S’inspirant d’une technique ancestrale qui remonte à l’époque de la Renaissance, les artisans tissent des filaments d’or et d’argent pour en faire des fils de trame, dont les couleurs sont choisies par le client.
Rome serait-elle la capitale de l’artisanat du 21ème siècle ? Dès la nomination de Silvia Venturini Fendi à la présidence d’AltaRoma en mars 2010, il s’est avéré que la capitale romaine, ainsi que la mode ont toutes les deux trouvé un précieux défenseur des valeurs contemporaines de l’artisanat. A partir de juillet 2010, l’héritière de la famille Fendi a décidé de promouvoir LIMITED / UNLIMITED, une exposition qui est désormais devenue le lieu de rencontre semestrielle entre la création et le savoir-faire.
Depuis 1971, les étagères de la boutique Il Portone, très prisée des jeunes étalons romains, exposent non seulement des chemises, mais également les boxers assortis, produits à partir des mêmes tissus, des plus classiques aux plus sophistiqués.
Une odeur de sainteté imprègne le laboratoire de cette petite boutique dans l’ombre du Panthéon à Rome, où les mesures exactes du pape Jean-Paul II ont été préservées par les frères Gammarelli.
Carlo Marini est l’héritier d’une lignée de maîtres bottiers, dont la notoriété et le prestige remontent au siècle dernier, à l’époque où Giuseppe Marini ouvrit sa propre boutique à via Francesco Crispi et attira rapidement les convoitises d’une clientèle de renom international.
Un merveilleux documentaire poétique qui suit les péripéties d’un protagoniste séculaire : le lin européen. De la graine au tissu, des champs d’Europe du Nord aux usines de tissage italiennes, le réalisateur français Benoit Millot, graphiste également, suit la pousse, les transformations et les voyages de cette matière noble.
Né en 1971 à Istanbul, Ali Kazma est un artiste vidéo qui remet en question, au travers de ses oeuvres, le sens du travail et de l’activité humaine.
« Confezioni espresse » – littéralement « confection express », le service proposé par Wilma Silvestri, se déroule au sein des nouveaux locaux dans la via Panisperna à Monti, un quartier chic et engagé de Rome.
Camiciera Bracci propose des chemises réalisées dans les tissus italiens les plus raffinés, le tout à des prix abordables : chemises 100 % coton, double retors et lin.
La maison Franco Litrico, haut-lieu du sur-mesure romain, et le styliste Fabio Quaranta, gagnant de Who is On Next? Uomo ont collaboré ensemble dans le cadre d’une exposition sur le thème de l’artisanat vestimentaire haut de gamme.
Un Guide sur mesure – Rome ouvre le microcosme romain de la mode aux hommes qui souhaitent se démarquer en arborant des vêtements et accessoires uniques et sur mesure. Prendre le temps de choisir, concrétiser leur expression personnelle, ressentir l'excitation de l'attente jusqu'au plaisir de découvrir enfin l'objet terminé et tout simplement profiter de la beauté inhérente à l'artisanat traditionnel. 239 lieux en ville où un homme peut commander vêtements et accessoire sur mesure.
Fondé en 1988, à l’initiative de Maryline Bellieud-Vigouroux, l’Institut Mode Méditerranée (IMM), rebaptisé en 2010 la Maison méditerranéenne des métiers de la mode (MMMM), révèle et accompagne les jeunes créateurs de mode du bassin méditerranéen, en les aidant à devenir des chefs d’entreprise et à intégrer le réseau professionnel.